Je connaissais le Portrait de Dorian Gray, comme beaucoup, mais pas l'auteur. Et en amatrice de polars historiques, me voilà à lire, par hasard, le premier volume de Gyles Brandreth, Oscar Wilde et le meurtre aux chandelles, 10-18.
Acheté du bout des doigts, parce que dans la collection "Grands détectives", mais d'un auteur de moi inconnu, je m'essaye donc à la nouveauté. Et bien, je n'ai pas été déçue. Outre l'intrigue bien ficelée à la Conan Doyle (un des principaux protagonistes du bouquin par ailleurs), l'auteur sait faire partager l'intimité de l'écrivain à la fois sans tomber dans le graveleux mais sans pruderie.
A recommander pour les lecteurs du genre, mais également pour tous ceux qui s'intéressent à la société victorienne et à la mentalité des Britanniques de l'époque.
Car, pour qui a travaillé sur le genre, les allusions à la Britishness fourmillent.
Bonne lecture donc.
Acheté du bout des doigts, parce que dans la collection "Grands détectives", mais d'un auteur de moi inconnu, je m'essaye donc à la nouveauté. Et bien, je n'ai pas été déçue. Outre l'intrigue bien ficelée à la Conan Doyle (un des principaux protagonistes du bouquin par ailleurs), l'auteur sait faire partager l'intimité de l'écrivain à la fois sans tomber dans le graveleux mais sans pruderie.
A recommander pour les lecteurs du genre, mais également pour tous ceux qui s'intéressent à la société victorienne et à la mentalité des Britanniques de l'époque.
Car, pour qui a travaillé sur le genre, les allusions à la Britishness fourmillent.
Bonne lecture donc.